Depuis environ 1870, les Français ont dirigé avec succès le PMU. Pendant toutes ces années, cette forme de pari était protégée par un monopole d'État, mais récemment, l'Union européenne a demandé à la France d'ouvrir ses portes à d'autres sociétés offrant les mêmes services, chose qu'elle a faite. Toutefois, dans le contexte français, les restrictions et les normes fixes font partie intégrante de l'accord d'accréditation de l'Arjel, notamment en ce qui concerne les courses de chevaux, et nous n'avons pas vraiment constaté de changement, étant donné que 99% des paris sur les courses de chevaux se font sur le site du PMU. Les compagnies comme Genybet ont essayé, mais sans y parvenir, car un pari mutuel sans liquidité est comme une cafétéria sans café.
Le PMU dispose d'un chiffre d'affaires annuel de plus de 10 milliards d'euros, et il a collecté 790 millions d'euros en 2012. Il emploie 74 000 personnes, constitue 80% de la filière hippique française et détient 10 400 points de vente en France ainsi que 2 000 autres établissements sur des territoires et pays étrangers. Pour comparaison, les bookmakers britanniques offrent 72 millions de livres pour les courses, un triste état de choses, car les propriétaires Français collectent 8 000 € de gains pour une petite course, ce qui fait environ 2 500 € au Royaume-Uni. Les frais d'entrainement des animaux au Royaume-Uni sont plus chers et il n'y a pas de subvention, car au Royaume-Uni, en tant que petit formateur vous pouvez vous attendre à payer 40 pounds par jour pour entraîner votre cheval, alors qu'en France vous paierez 40 € par jour (environ 20% de moins). Cela ne s'arrête pas là. En France le transport vers l'hippodrome est gratuit, de même que celui des chevaux, ce qui veut dire que le propriétaire français a beaucoup plus de facilité.
Logiciel | Playtech |
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Licence | ARJEL |
Établi | 1861 |
Méthodes de Payement | Visa Mastercard Neteller Skrill Echeck |
Jeux | 1100+ Jeux |
Le Royaume-Uni dispose d'un marché de pari dynamique dirigé par des bookmakers, ce qui veut dire que les cotes changeront en fonction de la quantité d'argent que les bookmakers prendront en compte, avec des prix prédéterminés qui sont disponibles. De plus, la concurrence entre les bookmakers crée un léger over round. Un parieur moyen peut bien gagner sa vie, s'il en avait l'occasion, mais les bookmakers britanniques n'aiment pas les gagnants ; la fermeture des comptes et les restrictions abusives sont devenues monnaie courante. À une époque, il y avait un échange de pari appelé Betfair, et c'était une excellente innovation qui avait remporté le prix de la Reine dans le secteur. Ce système a supprimé la norme des bookmakers et a permis aux parieurs de jouer les uns contre les autres. En 2008, la cupidité des entreprises a repris le dessus, et les vainqueurs étaient tenus de payer des frais supplémentaires pour utiliser le service, mais ce n'était pas suffisant. En 2011, ils ont essayé de retirer tous les parieurs professionnels en augmentant le montant de la prime à un énorme taux de 60%, un fait qui est dénué de morale.
En France, vous n'avez aucune compétition réelle, ce qui veut dire que la déduction est constante. La déduction de la cagnotte remportée est d'environ 16%, ce qui inclut une taxe de 7%, mais les options spéciales ont des déductions plus grandes. La cagnotte remportée en France peut être comprise entre 80 000 et 500 000 € ; cela dépendra en grande partie du type et du jour de la course. La course au trot par exemple offre un bien plus grand bénéfice. Les Français parient plus sur les options spéciales du PMU, et le montant le plus élevé qui a déjà été payé pour un quinté est de 10, 5 millions d'euros.